#spg malfunction
Explore tagged Tumblr posts
Text
Raking my brain to try and make some spg prints... :)
#cartoon#art#artists on tumblr#fan art#illustration#spg#rabbit#spg rabbit#steam powered giraffe#rabbit spg#malfunction spg
81 notes
·
View notes
Text
Saturday night
57 notes
·
View notes
Text
Not the best quality but yeah
#spg#steam powered giraffe#malfunction spg#heavypaint#pumpkindogart#dont ask me for a higher quality this died in the reset
97 notes
·
View notes
Text
ID: An illustration of Malfunction and Upgrade from Steam Powered Giraffe dancing together. Upgrade is blushing as she stares at Mal’s chest. End ID.
This was supposed to be for lesbian visibility week, but even if I’m late these lesbians are still very visible 😎
If you like this drawing my commissions are always open! More info in my pinned post 💖
70 notes
·
View notes
Text
Credit to Aleutie
#steam powered giraffe#spg#Saturday night#the spine spg#the spine#the malfunction#me and my baby#drawing
11 notes
·
View notes
Text
Only human artwork by Sam Luke [I think?]
Malfunction artwork by Isabella Bunny Bennett
Wired Wrong artwork by Sam Luke
Propaganda under the cut
Only Human:
youtube
No propaganda submitted :(
Malfunction:
youtube
No propaganda submitted :(
Wired Wrong:
youtube
No propaganda submitted :(
#steam powered poll#only human spg#quintessential spg#malfunction spg#wired wrong spg#mk iii spg#spg#steam powered giraffe#round c
9 notes
·
View notes
Text
Day 22: Malfunction kinda maybe I think I'm pretty sure
IDK if this is a good example of a "malfunction".
Really, I just wanted an excuse to draw this SOO...
#spg#steam powered giraffe#spgtober 2023#Ironic for me to draw a human on the prompt of malfunction#peter walter vi#also I've just noticed that I've been giving him all of my attention lately#idk why#it's not like he's my favorite#i guess he's just really interesting or something#this is like my 5th post man#should I put a swear tag I don't usually swear lol#not on my own at least#spg meme#my stuff#spg fanart#art
39 notes
·
View notes
Text
Two hit combo attack for experiencing catharsis
#psii.mp3#spg#steam powered giraffe#me trying so hard to keep a staright face listening to wired wrong in the bus:#wired wrong: my brain is wired wrong but im not the only one. im not alone and one day ill be in a place where i feel comfortable in this#malfunction: regradless of your quirks looks and flaws ('malfuntions') you are socool and awsome and you should own what makes you different
45 notes
·
View notes
Text
so I’ve been having a pretty shitty month, my mental health is the worst it’s been in years, and every time I started to feel better it only lasted for a few hours at a time. I ended up trying to preserve my mental state like some sort of glass thing that was incredibly fragile. I don’t know exactly what I’ve got, and I knew I should research it and figure out how to help myself, but I honestly just felt so down and so worthless that I didn’t even try. So, I love SPG right, and I’ve heard Malfunction before, but when I tell you watching that music video today I understood it EXACTLY like never before and omfg even if it doesn’t last long for right now just knowing that I’m not the only one who has problems has helps me so much. Im even gonna start researching things to help myself today, which is insane cuz I didn’t feel like I could do anything at all for the past literally three weeks, which may be nothing to other people with a mental illness, but this is the worst it’s ever been before for me. So all that to say, even if you don’t like weird steampunk bands, please check out Malfunction by Steam Powered Giraffe. It’s awesome. And thanks SPG for being the fucking awesome band you’ve always been. 💜
10 notes
·
View notes
Text
"Gold, silver, copper, bronze, the dullest metal can still be strong!! (...) Curvy, skinny, or bizarre! The best shape is who you are!"
-Steam Powered Giraffe, 2016
Your body is perfect no matter what you think of it. <333
#✰steam man rambles#love yourself#body posititivity#malfunction spg#spg#steam powered giraffe#spgiraffe#what's your malfunction? don't be scared! it don't matter how you wear your hair!!#love all bodies
2 notes
·
View notes
Text
youtube
Malfunction
4 notes
·
View notes
Text
Malfunction !!! She's now available on my shop :)
Here
#cartoon#art#artists on tumblr#fan art#illustration#malfunction spg#spg#steam powered giraffe#sketch#digital art#spg fanart
21 notes
·
View notes
Text
malfunction test :3
#spg#steam powered giraffe#malfunction spg#digital art#bone's singular crumb#no clue what the bg is ok dont. ask me
54 notes
·
View notes
Text
Save me mermaid Malfunction save me
#steam powered giraffe#spg#pumpkindogart#heavypaint#its been triple digits for 2 months hi hello im tired sweaty and still trying to work#malfunction spg
43 notes
·
View notes
Text
Ça ne veut rien dire
Nombre de mots : 5 909
Résumé : C'est une songfic sur Hare et The Spine qui se lancent dans une compétition de danse. Il y a des dommages collatéraux. Spoons est là.
Avertissements : un robot est endommagé :(
Notes de l'auteur : FAIT LA ROUE DANS LE SOLEIL, J'AI ECRIT CA
Note du traducteur : Les paroles des chansons ont été traduites pour une meilleure compréhension, si vous êtes intéressés par les chansons, je vous recommande de voir le post original pour connaître leurs titres et paroles.
À quoi sert la mélodie
À quoi sert la musique
Si elle n’a pas quelque chose de doux ?
Ce n’est pas une mélodie
Et ce n’est pas de la musique
Il y a autre chose qui rend cette mélodie complète, oui :
Ça ne veut rien dire si elle n’a pas ce swing
Eh bien, Ça ne veut rien dire, tout ce que tu as à faire, c’est chanter
Ça ne fait aucune différence si c’est doux ou chaud
Donnez juste tout ce que vous avez à ce rythme, oui
Ça ne veut rien dire si elle n’a pas ce swing
Ça ne veut rien dire…
– « Cela ne signifie rien »,
interprété par Duke Ellington et Louis Armstrong
—-
Les robots adorent danser. C’est un fait presque universel.
Ne me demandez pas pourquoi. C’est peut-être dû au fait que beaucoup d’entre eux ont été conçus pour être des artistes. C’est peut-être parce que la population « antique » s’est construite dans les décennies où la danse et les bibelots étaient les Choses Importantes de la Société. Avant la télévision. Avant même la Gameboy.
Mais le fait est que tout endroit où les robots se rassemblent est un endroit où il est probable de trouver un groupe jouant pour des automates friand de musique. Des automates nerveux, dansant et aimant le rock-n-roll. Le petit bar que Tipsy tenait dans la vieille ville n’était pas différent, même s’il fallait souvent réorganiser les tables pour y faire entrer tout le monde et tout en ayant la place pour danser. Certaines des plus petites tables étaient retournées les unes sur les autres et poussées contre le mur du fond, ce qui laissait un espace décent autour du kiosque à musique.
Ce soir-là, ils avaient un groupe modeste de musiciens – une trompette, une basse, un piano – jouant pour une poignée de couples de danseurs. Ceux qui ne dansaient pas frappaient du pied ou hochaient la tête, appréciant la musique. Tous ceux qui n’avaient pas été éliminés lors d’une partie de poker, bien sûr.
« Tu es un sacré tricheur, Becile ! » cria un des robots en jetant ses cartes sur la table. Les autres lancèrent des regards noirs, en soufflant de la vapeur et de la fumée tandis que le plus acéré d'entre eux tirait la mise dans son coin.
« Oh, messieurs, vous voyez ? Je n'ai rien dans ma manche », dit Hare, s'assurant que ses cartes de rechange étaient bien rangées dans ses gants avant de retrousser ses manches jusqu'au coude. « Dame Chance aime juste mon beau visage plus que le tien. »
« Ça n'en vaut pas la peine, Joe », marmonna un autre robot sous sa perruque de travers, en se levant. « Ce type va te couper les câbles pour cinq dollars. Je t'avais dit que c'était une mauvaise idée.»
La cafetière du robot hurleur bouilli, mais il repoussa sa chaise et partit en trombe, les autres le suivant en lançant des regards noirs à Hare. Il leur sourit tout aussi méchamment, sa seule bonne optique amincie en une fente.
Une bonne prise, pensa Hare, se levant et étirant ses vieilles articulations. Il arnaquait depuis l’après-midi et l’argent lui brûlait les poches. Cela lui permettrait d’acheter du carburant, au moins. Mais pour l’instant, il allait acheter de l’essence.
La clochette au-dessus de la porte tinta et Hare tourna la tête avec une légère curiosité. Il toussa de la fumée et se figea en les reconnaissant. Les nouveaux arrivants étaient minces et dégingandés, avec des vêtements argentés et des tenues impeccables. La femme portait une robe rouge et des cheveux bleus en fibre optique, tandis que le gars était habillé en noir et a de fines lames qui lui couraient le long de la colonne vertébrale. Parce qu’il était nommé The Spine. C’est son « histoire ».*
Et Hare va lui botter le derrière.
—-
Eh bien, on s'amuse comme des fous en sautillant sur la grande piste de danse
Eh bien, il est vrai mec carré, il a l'air de 1974
Eh bien, il m'a regardé une fois,
Il m'a regardé deux fois,
Regarde-moi encore et il va y avoir une bagarre
On va secouer cette ville, on va la détruire !
–« Secoue cette ville »,
interprété par The Stray Cats
—-
… Non, pensa-t-il. Hare allait prendre un verre d’essence, ou trois, et ensuite lui botter le cul. Les boissons rendraient inévitablement plus facile de se faire virer du bar. Et il insultait mieux quand il était ivre.
Hare se précipita vers le bar et attrapa un tabouret, tapant sur le comptoir pour attirer l’attention. « Est-ce qu’un type peut prendre un verre de quelque chose qui contient du plomb par ici ? » appela-t-il, lançant un regard noir au barman. Mais dans sa hâte, il commit une erreur fatale. Il oublia de vérifier son angle mort, directement à sa gauche, pour un type de problème particulier – les dames.
Spoons le fixa du regard. Spoons le fixa longtemps. Elle le fixa comme un chat qui aurait vu un oiseau très gros qui se serait posé à côté de sa patte et qui, au moindre faux mouvement, l’enverrait voler.
Spoons était une, disons, une connaisseuse des mauvais garçons de la ville, mais chacune de ses rencontres avec Hare s’était terminée par sa fuite rapide de la scène. La plupart du temps, elle plus était familière de le voir lui tourner le dos ; de près, assis sur le tabouret juste à côté du sien, son cœur commença à faire des saltos, les yeux traquant son air espiègle et séduisant. (Lire : usé et louche comme l'enfer.) Cette fois, elle jura qu'elle allait faire bonne impression.
Spoons avait de précieuses secondes avant qu'il ne la remarque. Rapidement, elle ajusta l'encolure de sa robe bustier, la fixant. Elle tamponna la fissure qui fuyait sur sa joue. Et finalement, elle s'accouda contre le bar, la main soutenant coquettement son menton, augmentant la lumière de ses yeux jusqu'à un scintillement ardent.
Le barman fit glisser un shot vers Hare, et alors qu'il ouvrait la mâchoire pour le boire, Spoons dit de son ton le plus séduisant : « Bonsoir, Mistah Hare. »
L'essence fût recraché dans toutes les directions alors que les dents de piège à ours de Hare se resserraient, brisant le verre à shot. Spoons essuya l'essence de ses optiques, offrant rapidement un mouchoir à Hare. « Oups ! On dirait que tu as une, euh, petite tache là. »
Hare la fusilla du regard, sortant ostensiblement un chiffon de sa poche et essuyant sa chemise. « Je devrais te faire payer pour ça. »
Spoons haussa un sourcil et gloussa. « S'il te plaît, fais-le ! »
« Avec de l'argent. »
« Oh. D'accord. »
Juste un verre, pensa tristement Hare, voyant le barman lui lancer des regards noirs. Il fit signe pour un verre de plus et essaya d'ignorer Spoons pendant qu'elle continuait à parler.
« Quelle soirée, hein ? J'adore cette musique, ça me fait penser au bon vieux temps ! Tu es déjà allé dans l'une de ces grandes salles de danse ? » Silence. « J'ai pu y aller plusieurs fois. Le jazz de chez moi c'était quelque chose d'autre. Ou c'était juste le… « chose d'autre », puisque c'est nous qui l'avons inventé. Tu aimes le jazz, chéri ? »
Hare grommela quelque chose de vaguement affirmatif, puis tendit la main pour attraper le verre qui glissait vers lui. A peine l'avait-il ramassé que le rire profond et distinctif de The Spine retentit depuis la piste de danse. Sa main se serra par réflexe, brisant le verre. Lentement, il l'abaissa, espérant que le barman ne le remarquerait pas. (Elle l'avait déjà fait.)
Spoons fronça les sourcils à cela, scrutant la pièce à la recherche de la source de son malaise. Il lui fallut une minute pour reconnaître The Spine, et sa bouche fit un petit « o » se souvenant de l'histoire infâme des deux familles. « Oh. Je suppose que c'est un peu inconfortable. Tu veux aller ailleurs ? »
« Même pas en rêve », s'exclama Hare. « J'étais là en premier, il n'est même pas censé être là. Il a sa maison de poupée de luxe dans laquelle vivre et ses jolies petites salles où chanter, le reste de cette ville est à moi. »
Spoons ouvrit la bouche, puis la referma, puis décida de se laisser porter. « Ouais, quel goujat ! Je parie qu'il, euh, ne sait même pas danser ! »
« Pas sans qu’on lui dise où mettre ses pieds », ricana Hare. « Ce sont les marionnettes des Walters. Va ici, reste là, fait comme ça. Je parie qu’il a dû signer une autorisation juste pour venir ici. »
« C’est… en fait un peu triste », dit Spoons en fronçant les sourcils.
Hare fit une pause. « Ouais, eh bien, il ne s’ira pas sans que je lui montre ce qu’il en est. Il danse comme s’il était un type important. »
Spoons frappa des mains. « Chérie, c’est une excellente idée ! »
« Euh ? Euh, ouais… merci ? »
« Ce sera vraiment amusant ! Et c’est la nuit parfaite pour ça aussi, avec la musique ici ! Mais », se pencha Spoons. « Tu n’as pas peur qu’il ait une partenaire ? Ça ne semble pas raisonnable d’y aller seul. »
« Je ne m’inquiète pas pour elle », dit Hare d’un ton dédaigneux. « Et ce n’est pas comme si quelqu’un ici me soutenait. » Il décida qu’il préférait éviter d’autres éclats de verre dans son fourneau et fit signe pour un autre shot.
Spoons le regarda un long moment, puis baissa les yeux sur la canne qu’elle avait cachée sous le bord du bar. Elle se mordit la lèvre, puis hocha la tête. « Je le ferais. »
Hare se tourna pour la regarder avec incrédulité. Le verre passa devant sa main et arriva sur un autre ivrogne confus dans la file. « Toi ? »
« Ouais ! Ouais, j'en serais heureuse même ! »
« Tu sais te battre. »
« Eh bien, je n’ai jamais combattu auparavant, mais j’ai beaucoup dansé ! »
Hare cligna des yeux. « Je pense que nous parlons de deux choses différentes. »
« Tu ne veux pas faire un concours de danse ? » Spoons fronça les sourcils. « Oh mon Dieu, je n’ai jamais demandé si tu savais danser, j’ai juste supposé… »
« Quoi… bien sûr que je sais danser ! » râla Hare d’indignation. « Et je pourrais très bien le battre en dansant, mais je n’étais pas… ce n’était pas ce que j’étais… je ne vais pas… ! » Les rouages tournaient furieusement dans sa tête, aveuglé par le concept. La probabilité qu’il soit capable de faire plus que des dégâts superficiels à The Spine avant d’être traîné dehors était mince. Mais il n’y avait aucune règle concernant le fait de blesser sa fierté et de ruiner sa soirée. Ouais… ouais, ça pourrait marcher. Hare lança un regard calculateur à Spoons. « Tu penses vraiment que tu peux suivre ? »
Le sourire de Spoons vacilla un instant. « Bien sûr. »
« Je devrais peut-être te faire sortir d’abord, pour voir ce que tu sais faire. Je n’ai pas envie de me faire ridiculiser. »
« Mais c’est la danse entre partenaires ! » dit Spoons nerveusement. Puis, plus sournoisement : « Et moi qui pensais que tu étais un joueur. »
Elle t’a eu là, pensa Hare. Moins parce que c’était vrai que parce qu’il n’avait rien à rétorquer. « Très bien. Mais tu n’auras pas de seconde chance si tu fais une erreur, Forks**. »
« C’est Spoons. Et je n’en aurai pas besoin », plaisanta Spoons. Son cœur avait l’impression qu’il allait exploser, et il irradiait dans ses jambes. S’il n’y avait pas de seconde chance, alors elle devrait jouer la première en sa faveur.
« Allons-y. »
« Je dois aller dans le petit coin des automates », dit Spoons soudainement, en sautant de son tabouret.
« Quoi, maintenant ? »
« Je reviens dans une minute, chérie ! » répondit-elle, faisant de son mieux pour cacher le relâchement de ses hanches alors qu'elle s'éloignait en courant.
—-
J'enfile ma plus belle robe
Je vais sortir ce soir
Je m'attends à me détendre maintenant
Et j'espère que tu ne te battras pas
N'oublie pas que tu ne vis qu'une fois
Tu dois devenir fou si tu veux être à moi
Tu seras à moi
Tu seras à moi
–"Est-ce trop demander ?"
interprétée par Biboulakis
—-
Bien installée dans la salle de maintenance, Spoons s'appuya contre la table et éteignit ses optiques, se concentrant. Elle ne pouvait rien faire pour l'état physique de ses hanches et de ses jambes, non. Mais elle avait reçu juste assez de programmation pour l'empêcher de tomber en morceau, de bloquer ses articulations lorsqu'elles se déplaçaient trop loin.
Elle annula cette programmation.
Juste pour l'instant, pensa-t-elle en fouillant dans le code dans sa tête, tressaillant à mesure qu'il était réorganisé. Juste pour que je puisse faire ça.
Elle faillit tomber lorsque la maintenance fut terminée, presque toute la tension quittant son système. Mais elle s'accrocha à la table et réussit à se relever, et elle se secoua. C'était… étrange, comme si elle était faite d'articulations à rotule partout. Spoons fit quelques pas hésitants, puis secoua ses hanches de manière expérimentale. Elle n'avait pas été capable de faire ça depuis longtemps, et elle sourit au cliquetis de ses plaques. C'est l'heure du spectacle.
« Enfin », souffla Hare, s'appuyant contre le bar, les bras croisés, tandis que Spoons réapparaissait, balançant ses hanches avec entrain. « On est prêts à y aller ou bien ? »
« Montre-moi la voie, chérie », dit Spoons, en lui serrant le bras et en lui faisant un clin d'œil. Hare leva les yeux au ciel et se leva, se dirigeant vers la piste de danse.
La suite de l'histoire peut être décrite comme un numéro musical. Le format sera modifié en conséquence.
—-
LE CONCOURS DE DANSE
LEVER DE RIDEAU : (Le kiosque à musique et les musiciens, côté scène, jouent déjà. C'est très sobre ; c'est du remplissage, un bruit de fond pendant que le reste de la scène se met en place. À gauche de la scène, il y a quelques tables et chaises et quelques automates, certains assis, d'autres debout. THE SPINE et MALFUNCTION sont debout à droite du centre ; derrière eux, quelques autres paires de danseurs se frayent un chemin dans la foule côté scène.)
HARE
Hé, Silver !
THE SPINE
(Se tournant lentement pour faire face à HARE) … Personne ne cherche la bagarre ici, Hare.
HARE
Bien sûr que non… On veut juste danser un peu, n'est-ce pas ?
SPOONS
Bonjour !
THE SPINE
Euh. Bonjour.
HARE
ALORS. Pourquoi ne pas filer avec ta pote pendant que nous faisons un peu de danse sophistiquée… À moins que tu penses pouvoir danser sans que ton papa te tienne la main ?
THE SPINE
… On n’ira nulle part.
HARE
C’est ce que je pensais que tu dirais. Hé toi, avec la trompette !
(Le TROMPETTISTE abaisse sa corne.)
HARE
Tu as envie d’une petite compétition amicale ?
TROMPETTISTE
Je ne suis pas sûre que ce que tu fais soit « amical », Becile. Mais si le monsieur en noir est d’accord… ?
(Le TROMPETTISTE regarde THE SPINE d'un air interrogateur, qui soupire avec un panache de vapeur.)
THE SPINE
Je ne veux vraiment pas…
(MALFUNCTION lui donne une claque sur le bras et lève les sourcils, comme pour dire : « Tu ferais mieux de dire oui, parce que si tu ne le fais pas, je vais me battre sans toi. »)
THE SPINE
Je veux dire… euh. Ouaaaaaaais. (Doucement) Oh là là.
TROMPETTISTE
Mesdames et messieurs, pouvons-nous libérer la salle s'il vous plaît ! On dirait qu'on a un spectacle pour vous ce soir !
(Les autres paires se déplacent vers la foule à gauche de la scène, certaines lançant des regards inquiets à HARE. THE SPINE chuchote à MALFUNCTION, tandis que HARE se tourne vers SPOONS et la regarde une dernière fois.)
HARE
Tu es prête pour ça ?
SPOONS
Chérie, j'ai été conçue pour être une gagnante.
(La musique reprend et la danse commence.
(THE SPINE et MALFUNCTION sont fait pour briller, ayant été partenaires de danse pendant des décennies et pratiquant sans cesse un ensemble de mouvements très spécifique. Ils ont vécu avec leurs performances scrutées et leurs erreurs réprimandées, il n'y a donc pas de place pour improviser dans leur foxtrot. Il y a quelque chose de très Fred et Ginger dans leur façon de bouger, seulement un peu plus rigide et avec beaucoup moins de claquettes.
(HARE et SPOONS ressemblent davantage à un carrousel qui bascule. Même avec sa commande en place, elle est nerveuse à l'idée de trop bouger, donc au début HARE se déplace principalement autour d'elle. Il danse comme s'il avait quelque chose à prouver, car il est convaincu qu'il l'a. Ils viennent de deux styles différentes - le rock'n'roll et le shag de Saint-Louis - et les différences les laissent maladroits.
(HARE souffle un nuage de fumée de frustration et regarde directement l'autre paire. Il fait tourner SPOONS et la laisse partir ; quand MALFUNCTION s'en va, il l'intercepte et l'éloigne de THE SPINE, qui reste confus devant l'espace vide.)
HARE
(souriant à MALFUNCTION)
Hé. Comment ça va ?
MALFUNCTION lui marche sur le pied avec les effets sonores : CRUNCH et HARE se plie en deux. SPOONS fait soudainement un coup de hanche à MALFUNCTION pour l'écarter ; MAL trébuche en arrière et est attrapé par THE SPINE. SPOONS attrape le bras de HARE et le soulève.
SPOONS
Ça va ?
HARE
(Tendu) OUAIS je dois juste…
(Il lève son pied et l'attrape. Effets sonores : BOSSE SUR LA CARROSSERIE D'UNE VOITURE SE REMETTANT EN PLACE)
Et voilà !
(Ils recommencent à danser juste au moment où la musique commence à reprendre. La trompette prend les devants, encourageant les robots à se déplacer plus vite, plus vite. THE SPINE et MALFUNCTION accélèrent le rythme, passant d'un fox-trot à un pas rapide, tourbillonnant sur la piste.
(Alors qu'ils passent, le pied de HARE jaillit juste devant THE SPINE, le faisant trébucher.)
TROMPETTE
Hé ! Premier avertissement, Becile !
HARE
Je suis maladroit.
(La danse continue. Mais dès que HARE peu poignarder THE SPINE dans le dos, il balance son pied et lui donne un coup de pied au cul.)
TROMPETTE
Deuxième avertissement !
SPOONS
(Chuchote sur scène) Qu'est-ce que tu fais ??
HARE
(Chuchote en retour) Je le fais descendre d'un cran !
SPOONS
Tu vas nous faire jeter dehors !
HARE
Eh bien, ce serait beaucoup plus facile si tu bougeais vraiment !
(Spoons fait une pause.)
SPOONS
Fais moi tourner.
HARE
Quoi ??
SPOONS
Fais moi tourner par-dessus ton épaule et je te montrerai qui peut bouger !
(HARE hésite, puis jette un coup d'œil à THE SPINE. Brusquement, il attrape la taille de SPOONS et la soulève.
(SPOONS plonge par-dessus son épaule et lui fait craquer quelque chose dans ses chevilles, pointant ses pieds. Alors qu'elle fait cela, des étincelles jaillissent en arc de cercle derrière eux. Les spectateurs inspire de surprise. Elle trébuche à l'atterrissage mais lève le menton d'un air de défi vers HARE.)
SPOONS
C'est assez chic pour toi ?
HARE
(Sourire vicieux) Mettons le feu à la piste de danse, hein ?
(Les rôles se retournent alors, alors que l'énergie chaotique de HARE et SPOONS dépasse celle des robots Walter, SPOONS ponctuant ses pas d'étincelles. Personne ne remarque qu'elle casse en fait des circuits dans ses chevilles - jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
(Alors que la musique atteint son apogée, HARE et SPOONS se déplacent vers le centre de la scène, SPOONS tournant sauvagement. Puis, alors que la trompette hurle, sa cheville s'effondre. Les mains de HARE se tendent pour l'empêcher de tomber, mais alors qu'il l'attrape par les épaules, ses jambes continuent. Ses hanches se tordent tout autour, sa robe se froisse jusqu'à sa taille et commence à se tacher d'huile. Tout s'arrête alors que SPOONS vacille sur place, HARE retirant ses mains avec horreur.)
SPOONS
… Oups.
(Les lumières de la scène s'éteignent alors qu'elle tombe.)
—-
ENTRACTE
(Cinq minutes avant le lever du rideau, commencez à jouer la piste #4…)
—-
Seigneur, je suis né un homme vagabond
J'essaie de gagner ma vie et de faire de mon mieux
Et quand viendra le temps de partir, j'espère que tu comprendras
Que je suis né un homme vagabond
–« Ramblin' Man »
interprété par le Allman Brothers Band
—-
Spoons était assise, les jambes allongées sur le banc du piano à côté d’elle ; ils l’avaient descendu du kiosque à musique pour lui donner un peu plus de soutien pour ses jambes. Elle boudait, regardant le bar commencer à se vider maladroitement, l’ambiance pour chanter et danser tuée par son accident.
Quelle soirée désastreuse. Pas seulement sa danse, pas seulement les dommages à ses jambes et la disparition complète d’une de ses rotules, mais il s’est avéré que le mécanicien de garde du bar était le même que celui chez qui elle s’était rendue pour l’entretien, et il était furieux. Il avait fait ce qu’il pouvait avec seulement son sac de voyage, puis lui avait glissé une carte de rendez-vous dans la main et avait grogné qu’elle ferait aussi bien de sauter dans la rivière si elle ne se présentait pas. Pour l’instant, la rivière semblait être la meilleure option.
Hare était parti.
« Il t’a jetée sur une table et s’est enfuie », avait cinglé quelqu’un lorsqu’elle s'était rallumée, groggy, et demandé après lui, la tête se penchant d’un côté puis de l’autre dans un état second. « Bon débarras, après ce qu’il a fait. »
« Tu as de la chance d’être encore en ligne ! »
« Je n’ai jamais vu un robot aussi violent, il l’a presque déchirée en deux. J’ai tout vu ! »
« Quel monstre, profiter d’elle ! »
« C’était pas comme ça », essaya de dire Spoons, bien que ses mots soient pâteux. « Il n'essayait pas de me blesser. » Mais personne n’écoutait, et finalement les commères s’éloignèrent, l’excitation terminée. Spoons resta donc seule, tamponnant de temps en temps de l’huile coulant de ses optiques mais refusant de pleurer.
Elle jeta un coup d’œil à travers la pièce vers The Spine, qui était resté avec sa partenaire. Il avait fait un effort pour traverser la pièce, probablement pour parler, mais avait été envahi par des robots désireux de parler à une légende locale. Cela ne lui posait pas de problème, honnêtement ; elle n’avait pas vraiment envie de parler.
La clochette de la porte retentit, et Spoons vit les sourcils de The Spine se lever. La pièce commença à se vider de tout bruits et les gens s’éloignèrent, certains se serrant les uns contre les autres de manière protectrice. Hare n'eut aucune réactions visibles à leurs actions, avançant les mains enfoncées dans ses poches. Puis il se retrouva debout devant Spoons, la fixant en silence.
Elle lui rendit son regard, puis sourit doucement. « Je savais que tu reviendrais », mentit-elle.
Hare ne dit rien, puis retira lentement sa main de sa poche. Serrée dans sa paume se trouvait sa rotule manquante, toujours tachée d’huile.
Spoons s’illumina. « Tu l’as trouvée ! » dit-elle, espérant qu’il jouerait le jeu qu’elle lui offrait. « Je savais que ça ne pouvait pas disparaître. Merci, mon sucre », dit-elle en tendant la main pour récupérer sa pièce manquante.
Elle n’avait pas besoin de savoir comment il avait couru dix pâtés de maisons avant même de se rendre compte qu’il la tenait. Elle n’avait pas besoin de savoir les moments angoissants où il l’avait tenue au-dessus de l’égout, voulant que sa main s’ouvre, se suppliant de rentrer chez lui et d’oublier que cette nuit s’était produite. Comment ses doigts s’étaient serrés plus fort à l’idée des yeux de son frère Skull le transperçant de part en part, le traitant de lâche qu’il était, ou le gouffre qui s’était ouvert dans ses entrailles robotiques en regardant Spoons tomber. Non, personne n’avait besoin de savoir ça.
Hare resta immobile un moment, puis avec un grondement de son moteur, il enfonça la rotule dans sa main. « Tu aurais dû me dire que tu étais instable », cracha-t-il. « Je ne t’aurais pas emmenée là-bas si j’avais su ! »
« … Je sais », dit Spoons doucement. Elle baissa les yeux sur sa jambe et remit la rotule en place.
« Tu m’as menti et tu as dit que tu pouvais suivre, et tu t’es fait… tu t’es fait très mal à cause de ça ! Et pour quoi, hein ? Parce que tu penses que je suis une sorte de romantique au fond ? » Spoons balança ses jambes hors du banc et Hare recula légèrement, mal à l’aise d’être trop près d’elle. « Miss, quoi que tu penses que je sois, je ne le suis pas. »
« Ne m’appeles pas simplement "miss"! » répliqua Spoons, soudainement en colère. « Je t'ai dit mon nom ! Et… et je voulais juste passer un bon moment avec toi, mais je ne peux pas, parce que je suis stupide et brisée ! C’est ce que tu veux m’entendre dire ?! »
Hare parut stupéfait, et il hésita à répondre. « Tu n’es pas… brisée. Juste… »
« Si, je le suis. »
« Écoutes… »
« Excusez-moi. »
Ils se figèrent tous les deux lorsqu'une voix grave interrompit leur discussion. Hare ferma son optique, inspirant de l'air pour son fourneau, essayant de se contrôler. Tous les yeux de la pièce se posèrent soudainement sur lui, l'ancrant sur place. The Spine se tenait juste derrière lui, Malfunction à ses côtés, et il parlait à Spoons comme si Hare était invisible.
« Je m'appelle The Spine, de la famille Walter, et voici mon associé Malfunction. Nous étions heureux de voir que vous aviez pu faire quelques réparations. Mais compte tenu de l'accident de cette nuit », dit-il en jetant un coup d'œil dans le dos de Hare. « Nous avons pensé que nous devions vous proposer de vous ramener à votre résidence. Nous ne voudrions pas que vous subissiez une nouvelle panne ou que vous ayez à faire face à… quelqu'un de désagréable. »
Hare se tourna brusquement pour partir. Au diable cette situation. Au diable tout ça. Il allait rentrer chez lui et s'en prendre à la première personne qu'il trouverait. C'était tout ce qu'ils étaient bons à faire. Tout ce à quoi il était bon.
Une petite main serra fermement son poignet.
… Seigneur, cette femme du Delta pensent hautement de moi.
« C’est vraiment très gentil de ta part, Mistah Spine », dit Spoons, souriant joyeusement malgré l’huile dans ses optiques. « Mais Mistah Hare a déjà proposé de m’accompagner chez moi, et je ne pouvais pas me rétracter comme ça. N’est-ce pas, Hare ? »
Il y eut un grand bruit de grincement alors que Hare, abasourdi, bougeait sa mâchoire sans parler. Il jeta un coup d’œil aux deux robots Walter et, comme s’il était devenu de l’huile, il se glissa sur le banc à côté de Spoons, glissant un bras autour de ses épaules.
« Bien sûr, poupée », dit Hare, feignant la confiance de toutes ses forces. « Ce ne serait pas bien de couper court à ma partenaire de danse comme ça. Nous avons toute une nuit devant nous. Alors, euh », toussa-t-il dans son poing, puis agita ses doigts dans un mouvement de chasse. « Vous pouvez tous y aller. »
Les sourcils de The Spine se froncèrent et il ouvrit la bouche pour parler, mais s'arrêta lorsque Malfunction s'avança. Souriant, l'automate au tons bleus posa doucement sa main sur celle de Spoons. Quand elle parla, c'était comme si un modem à boutons et une radio AM avaient eu un bébé qui tomba ensuite dans une baignoire, hurlant son dernier souffle. C'était complètement inintelligible. Mais elle souriait, et après un moment de confusion, Spoons dégagea sa boîte vocale et tapota la main de Mal avec sa main libre.
« Que Dieu bénisse ton noyau, chéri, c'est, euh, très gentil de ta part de dire ça. Merci. »
Satisfait, Mal recula. Elle prit le bras de The Spine et commença à le guider sans subtilité vers la porte. Il bégaya, regardant d'un robot à l'autre, et fit rapidement un signe de tête à Spoons avant de se détourner.
Alors qu'ils s'éloignaient hors de portée de voix, Hare retira son bras d'autour des épaules de Spoons, posant ses coudes sur la table derrière lui. Il regarda Spoons avec méfiance ; elle lui rendit son sourire, un peu tristement.
« Quel est le piège », demanda-t-il catégoriquement. Spoons inclina la tête et Hare se tortilla comme un insecte sous verre. « Allez, juste… qu'est-ce que tu veux, pourquoi as-tu fait ça ? Tu ne me couvrirais pas gratuitement… »
« C'est juste que je n'aimais pas le voir t'embarrasser comme ça, chérie. Je n'essayais pas de te soutirer quoi que ce soit. »
Hare la regarda fixement et Spoons lui rendit son regard. Mais il secoua la tête. « Non, connerie. Il doit y avoir quelque chose. »
« Hare… »
« Écoute, je te rends la pareille !» Hare éleva la voix un peu trop agressivement et Spoons se pencha en arrière, un regard étrange sur le visage. Il recommença à parler, puis détourna le regard, soufflant de la fumée. « Alors dis-moi juste ce que tu veux, OK ?»
Spoons le regarda encore un moment, puis le coin de sa bouche se releva. « Juste pour qu'on soit quitte ? »
« Ouais, ouais. »
Spoons fredonna, mettant une main sur son menton. Une petite étincelle apparut dans son œil, et Hare l'aperçut avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit.
« En gardant à l'esprit que je suis un homme pris », grogna-t-il d'un ton préventif.
Spoons se souvint de la perceuse électrique et fronça les sourcils pendant une seconde. Puis elle réfléchit un peu plus longtemps, réfléchissant aux hauts et aux bas de la soirée, se demandant si elle recommencerait tout cela. Et puis elle eut sa réponse.
« Emmène-moi danser. »
Le moteur de Hare semblait sur le point de s'éteindre. « Quoi ? »
« Emmène-moi danser. »
La bonne optique de Hare était ronde et brillante, la fixant. Il se tourna pour fixer la piste de danse pendant un moment, puis leva les yeux vers le plafond comme s'il regardait au-delà, le visage rieur et insondable de Dieu.
Et il se mit à rire lui aussi.
Ce n’était pas son rire habituel, celui que la plupart des gens entendaient. C’était incrédule, oui, et ça faisait mal aux oreilles de l’entendre, mais une partie de la tension qu’il portait toujours en lui s’était atténuée. Il n’était pas moqueur, ni méprisant, ni blasé. Il était juste… amusé. Presque heureux.
Hare se leva, secouant la tête. « D’accord, d’accord, j’ai compris. Tu as gagné, poupée. » Il lui fit face, souriant, et leva les yeux au ciel avant de s’incliner et de lui tendre la main. « Puis-je avoir cette danse, Miz Spoons ? »
« Cher, je pensais que tu ne demanderais jamais », dit Spoons en lui prenant la main.
Debout à la porte, The Spine tourna la tête au son des cris pour voir les deux musiciens se diriger vers le kiosque à musique, Hare chahutant les musiciens tandis qu'il portait le banc du piano sous un bras et soutenait la marche raide de Spoons avec l'autre. Il regarda la piste de danse encore remplie de commères se vider en leur présence, énervées ou dégoûtées. Le groupe, sur un signe de tête du barman, recommença à jouer, à un rythme plus facile cette fois, avec une pointe de blues. Hare et Spoons s'évanouirent dans le rythme doux d'une danse lente, Spoons se stabilisant avec ses bras autour du cou de Hare. Une traînée de fumée les suivait en cercles. The Spine cligna lentement des yeux, sentant la musique s'infiltrer dans son processeur. Et tandis que Mal tirait sur sa manche et le tirant vers la porte, ses lèvres bougeaient au rythme de la chanson qu'il avait commencé à écrire.
—-
Le rythme monotone de la semaine de travail me déprime
La misère et le chagrin nous suivent partout
Mais quand la musique retentit et que le groupe commence à jouer
S'il vous plaît, vous feriez mieux de vous écarter de notre chemin
– « Moi et Ma chérie »
Interprété par Steam Powered Giraffe
—-
Fin
*Ici, un jeu de mot intraduisible. "Backstory" fait référence à l'histoire de la vie de quelqu'un. The Spine ayant une particularité dans le dos (plus précisément à sa colonne vertébrale, Spine en anglais), le jeu de mot vient que dos se traduit par "back" en anglais. Donc "Dos Histoire" car The Spine (la colonne vertébrale) a une particularité dans le "Dos".
**Forks signifie fourchettes, surnom approprié pour Spoons qui se traduit par cuillière.
AO3 Link
Link to original
<- Précédent -- Suite ->
Directions
#spg#steam powered giraffe#becile bots#becile boys#Hare Becile#Spoons#The Spine spg#Malfunction#fanfiction#spg fanbot#songfic#traduction française
1 note
·
View note
Note
Hi Bunny! I just wanted to say that SPG’s music means the absolute world to me. Malfunction is probably the most relatable song I’ve ever heard in my life, actually but Overdrive, Laying in your arms and Harmony are probably my favourite songs (but they change around a lot because there’s so many good ones)
But I actually had a few questions as well?
I’m a U.K. fan so I was just wondering if you were ever planning on coming to the U.K.? I understand that it’s quite the trip however.
And my second question was how do you feel about the fanbots people make?
I understand if you don’t want to answer my questions however!! I just wanted to ask just in case :3 I also adore your art and it actually has influenced my own a little
I am glad you enjoy our work, it means a lot! Thank you!
We actually have been to the UK a number of times in the past before the pandemic courtesy of the Asylum Steampunk Festival in Lincolnshire.
Im a bit of an anglophile when it comes to tea and biscuits and british cooking and warhammer, so everytime we've gone has been an absolute blast for me.
I always visit Warhammer World, and even went to a con a few years back as a personal vacation.
I miss bangers and mash and meat pies.
I would love to go back, though I know its quite an endevor shipping us out there with how expensive plane tickets are. Still, I know the entire band would jump at the chance!
Fanbots have been an awesome long standing tradition. The coolest part of the fandom is the light roleplay you all do by dressing up as your own in-universe characters. Its fun to have you play with us, and The Cavalcadium itself back in the day was made to help foster and encourage the creativity of our fans!
23 notes
·
View notes